CIMAF-Tchad assiste les couches démunies en ce mois saint de ramadan

En marge du mois saint de ramadan, la Société de cimenterie marocaine au Tchad (CIMAF-Tchad), dans sa politique d’assistance aux démunis, a fait un don de vivres aux couches sociales vulnérables à travers le Conseil supérieur des affaires islamiques (Csai). C’est à la faveur d’une cérémonie organisée, ce 29 mars 2024 au sein dudit Conseil en présence de son président, Cheikh Mahamat Khatir Issa et de l’Ambassadeur du Maroc au Tchad, Abdellatif Erroja.

Ce geste humanitaire de CIMAF Tchad en faveur du peuple tchadien est de voler au secours des personnes sociales vulnérables pendant la période de ramadan afin alléger et apaiser un tant soi peu, les difficultés auxquelles ces couches sont confrontées. Il s’inscrit dans le cadre de la 4^ème édition de l’opération « Ramadan 1445 ». Ce sont plus de 1000 kits alimentaires, composés, chacun de bidon d’huile, du sel, du sucre, de riz, de dattes…

Lors de la cérémonie de remise de ce don, le Directeur général de CIMAF Tchad Micham Mifdal a indiqué que cette action intervient en ce mois saint de ramadan pour soulager un tant soi peu, les souffrances, des couches démunies. « Nous sommes au 19^ème jour du mois saint de ramadan, un mois de piété, de solidarité, de compassion et de pardon. Nous espérons que cette action pourra alléger et apaiser les difficultés que les familles nécessiteuses traversent en cette période du mois sain de ramadan », a fait comprendre Micham Mifdal.

L’ambassadeur du Royaume du Maroc au Tchad, Abdellatif Erroja a, pour sa part, laissé entendre que cette initiative n’est qu’une illustration de la solidarité des liens humanitaires, spirituels, politiques  et économiques unissant le Royaume du Maroc et la République du Tchad. Ainsi, il a rassuré que l’Ambassade du Maroc au Tchad ne ménagera aucun effort pour la consolidation de ces liens au plus haut niveau, les érigeant en modèle de partenariat empreint de fraternité et de solidarité, conformément aux aspirations des plus hautes autorités de ces deux pays.

Occasion pour le représentant du Conseil supérieur des Affaires Islamiques de reconnaître cet acte de bienfaisance et d’invoquer la miséricorde et les bénédictions de Dieu sur la société CIMAF et ses responsables pour l’acte posé, ainsi que sur les deux peuples.

AC

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